dimanche 25 janvier 2009

Ext4 to be standard for Fedora 11, Btrfs also included

source: www.heise-online.co.uk

According to current plans, version 11 of Fedora, which is expected to arrive in late May, will use Ext4 as its standard file system. That's what the Fedora Engineering Steering Committee (FESCo) recently decided, following a heated discussion in an IRC meeting. If however Ext3's successor encounters big problems with the pre-release versions of Fedora 11, the developers will dump that plan and revert to Ext3.

So the Fedora Project is going one step beyond Ubuntu version 9.04 (Jaunty Jackalope), which as things currently stand will offer Ext4 as an install time option, though the installer will still use Ext3 as its default file system. The same was true of Fedora 9 and 10: the "ext4" parameter needed to be used when booting up the installation media, in order to enable that file system in the installer. Ext4 was still experimental when Fedora 10 was released.


After the recent acceptance of Btrfs into the main Linux development tree, chosen by some well known Linux file system developers as the "next generation filesystem" for Linux, the Fedora developers didn't wait and have already included support for Btrfs in Fedora Rawhide. So now, users of the Fedora development tree, which is updated virtually daily, can already play around with this still experimental file system, without having to grapple with compiling the kernel and suitable user space applications.


The developers have already extended the Fedora installer itself with support for Btrfs, though it is not yet mature and in a brief test by heise open, failed to work. That will probably also be the case with the alpha version of Fedora 11, based on Rawhide, which is now being prepared by the project for a launch on the 3rd of February. Just as with Ext4 under Fedora 9 and 10, users have to enable experimental support for Btrfs in the Fedora installer by setting a boot parameter. The developers have shown a sense of humour by initially assigning "icantbelieveitsnotbtr" as the command-line argument to activate Btrfs support.

The developers have already extended the Fedora installer itself with support for Btrfs, though it is not yet mature and in a brief test by heise open, failed to work. That will probably also be the case with the alpha version of Fedora 11, based on Rawhide, which is now being prepared by the project for a launch on the 3rd of February. Just as with Ext4 under Fedora 9 and 10, users have to enable experimental support for Btrfs in the Fedora installer by setting a boot parameter. The developers have shown a sense of humour by initially assigning "icantbelieveitsnotbtr" as the command-line argument to activate Btrfs support.



jeudi 22 janvier 2009

send SMS with SKYPE on fedora

We provide a set of commands that permits to enable sending sms on linux FEDORA. Note that sending SMS with skype is not free.

Requires:
1. Download and install skype
2. install python and python-devel
(as root) : yum -y install python python-devel

Installations steps:

3. As root, execute the following commands

wget http://heanet.dl.sourceforge.net/sourceforge/skype4py/Skype4Py-1.0.29.0.tar.gz
tar zxvf Skype4Py-1.0.29.0.tar.gz
cd Skype4Py-1.0.29.0/
python setup.py install
cd ..

4. From your account, Lunch skype:
skype&

5. Execute the following set of commands in your account

wget http://www.kolmann.at/philipp/linux/skysentials/skysentials-1.0.1.tar.gz
tar zxvf skysentials-1.0.1.tar.gz
cd skysentials-1.0.1/
./skysentials.py

6. have a fun

Fedora 11 s'appellera Leonidas

source: 01net.com


La prochaine version de la distribution a été baptisée par la communauté. Leonidas sera disponible en version alpha dès le 3 février.


La communauté Fedora a tranché : la prochaine mouture de la distribution Linux, Fedora 11, s'appellera Leonidas, selon les résultats du vote de ses principaux contributeurs. Nulle référence au célèbre chocolatier ou au roi de Sparte, Leonidas évoque ici le nom d'un navire de la marine américaine tout comme l'USS Cambridge, d'où Fedora 10 tire son propre nom.

La v11 a échappé aux suggestions bien plus farfelues de certains contributeurs, parfois prêts à la baptiser « Bacon », « Linuxcolor », « Caffe Latte » ou « Zythos », du nom d'une fête de la bière.

Une version finale prévue le 26 mai

La feuille de route de Fedora 11 est connue depuis décembre dernier. Si le planning est respecté, sa version alpha verra le jour le 3 février prochain, suivie par une version bêta le 24 mars. Le lancement de la version finale est prévu pour le 26 mai, soit six mois après le lancement de Fedora 10. La liste des nouvelles fonctions de la distribution n'est toujours pas arrêtée. Seules une dizaine d'entre elles figure actuellement au tableau.
On y trouve logiquement l'intégration de la prochaine version de l'environnement de bureau KDE (KDE 4.2), elle-même en cours de stabilisation. Un démarrage rapide, en 20 secondes, est aussi au programme, bien que les développements n'aient pas encore commencé sur ce point. Fedora 11 devrait par ailleurs être rendue compatible avec les lecteurs biométriques à empreintes digitales et prendre en charge le système de mise à jour incrémentale de paquets Presto.

mercredi 21 janvier 2009

Utiliser une webcam sous Linux : tour d'horizon

source: www.clubic.com

Comme nous l'avons vu dans notre récent comparatif de webcams, les rayons des grandes surfaces abondent de ces petites caméras fort pratiques. Néanmoins, si les utilisateurs de Windows n'auront aucun souci pour utiliser leur webcam à peine déballée avec l'offre logicielle fournie dans la boite, qu'en est-il de la compatibilité de ces périphériques avec Linux ? Même si ces systèmes sont minoritaires, la question se pose, ne serait-ce que pour l'utilisation de Skype, devenu quasi incontournable dans le domaine de la vidéo conférence. Ce dernier existe sous Linux et prend en charge la vidéo dans sa dernière version : il serait dommage de s'en priver !


Néanmoins, avant de pouvoir converser de visu avec ses proches, il convient de se poser la question de la compatibilité des webcams avec Linux. On le sait, les constructeurs ne se pressent généralement pas au portillon pour proposer des pilotes pour leurs périphériques sous Linux et le système libre traine une réputation, parfois usurpée, de système complexe où recompilation de noyau et installation en ligne de commande sont nécessaires pour le moindre périphérique un peu trop exotique. Au-delà de cette question se pose un autre problème : quels sont les logiciels disponibles pour exploiter sa webcam sous Linux ? Skype apparaît certes comme un incontournable, mais il existe d'autres solutions de vidéo-conférence, ainsi que d'autres applications proches de ce que proposent les constructeurs pour réaliser des captures et des vidéos. Autant de raisons qui nous poussent à faire le point sur l'utilisation d'une webcam sur ce système « alternatif », afin de compléter notre comparatif, lors duquel nous sommes amenés à examiner essentiellement l'offre logicielle et la compatibilité sous Windows.

Précisions sur les configurations utilisées

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il nous semble utile de préciser le matériel et les systèmes utilisés pour la réalisation de ce dossier. Nous sommes conscients de la diversité des distributions de Linux disponibles sur le marché. Nous avons néanmoins concentré cet article sur la dernière version en date d'Ubuntu (8.10), installée sur un PC équipé d'un processeur Core 2 Duo.

Les webcams que nous avons testées sont quant à elles les 6 modèles de notre dernier comparatif, à savoir :


Compatibilité des webcams

La compatibilité d'une webcam dépend forcément de ses pilotes. Heureusement, si de nombreuses webcams nécessitent l'installation de pilotes spécifiques, la norme USB Video Device Class, également appelée UVC, est venue clarifier la situation. Cette norme, qui concerne également des caméscopes ou des appareils photo, définit des appareils capables de diffuser de la vidéo en streaming. Une webcam compatible avec la norme UVC fonctionne en plug and play, sans installation supplémentaire, sous Windows XP (SP2 minimum) ou sous Windows Vista.

La bonne nouvelle, c'est que c'est également le cas du côté de Linux, puisqu'un pilote UVC a été développé pour le système. Celui-ci est intégré au noyau Linux depuis la version 2.6.26. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter le site des développeurs du pilote. Vous y trouverez notamment une liste des webcams dont la compatibilité a été vérifiée.

EasyCam : une solution pour installer configurer facilement votre caméra

La compatibilité UVC est une chose, mais toutes les webcams ne le sont pas, loin de là. Néanmoins, il existe une manière assez simple de configurer un grand nombre de webcams sous Linux, si vous disposez d'une distribution basée sur Debian (c'est notamment le cas d'Ubuntu). La solution s'appelle EasyCam, et propose en un paquet installable un assistant graphique permettant de détecter automatiquement et de configurer votre caméra. La dernière version du logiciel prend en charge plus de 350 modèles. Pour installer le logiciel, il vous faudra néanmoins ajouter un dépôt à votre gestionnaire. Toutes les informations d'installation d'Easycam sont notamment disponibles sur le site de l'éditeur.


La compatibilité en pratique

En théorie, toute webcam compatible UVC est donc compatible Linux. Néanmoins, la théorie est une chose, et la pratique en est une autre. Pour tester la compatibilité des webcams avec Linux, nous avons utilisé les 6 webcams de notre dernier comparatif, et plusieurs applications sur lesquelles nous allons revenir dans les pages suivantes : Skype, EasyCam et aMSN.

  • Creative Live! Cam Video IM Ultra : aucun problème de compatibilité, que ce soit sur aMSN, où il est possible de régler les paramètres d'image, sur Skype ou sur EasyCam, qui permet de capturer des images comme des vidéos.

  • Hercules DualPix Exchange : la webcam fonctionne avec Skype et aMSN mais refuse étrangement d'afficher la moindre image avec EasyCam, bien qu'elle soit détectée dans les préférences.

  • Logitech QuickCam S5500 : Logitech réalise un sans faute sous Linux : les trois applications fonctionnent parfaitement.

  • Microsoft LifeCam VX-5000 et VX-5500 : tout comme la DualPix Exchange, les deux webcams fonctionnent sous Skype et aMSN mais n'affichent pas d'image sous EasyCam. La webcam est pourtant détectée et le voyant allumé.

  • Philips SPC1030NC : le modèle de Philips réalise un sans faute, tout comme ceux de Creative et Logitech : ça marche du premier coup, et les réglages d'image sont tout de suite corrects.

La compatibilité des webcams est quasi totale. Il est difficile d'expliquer pourquoi les webcams de Microsoft et la DualPix Exchange d'Hercules n'affichent aucune image avec l'outil de capture d'EasyCam. Toujours est-il que nous avons tout essayé, en vain.

samedi 3 janvier 2009

Profitez pleinement d'Internet avec linux




Il fut un temps ou le navigateur Internet explorer était indispensable pour la navigation sur Internet. Heureusement, c'est de l'histoire passée grâce au fameux navigateur firefox soutenu par la fondation mozilla et désormais, disponible avec toutes les distributions de linux. D'ailleurs, ce navigateur détient le record de l'application la plus téléchargée en 24 heures. Le bureau KDE vient aussi avec un autre navigateur, konqueror, que vous pouvez utiliser comme alternative à firefox. L'installation de firefox peut se faire simplement avec la commande suivante:



yum -y install firefox



La messagerie reste aussi l'une des applications les plus courantes et indispensables pour la plupart d'entre nous. Il est donc indispensable de disposer d'un client de messagerie sophistiqué. Sous linux, vous avez le choix entre deux outils concurrents: evolution et thunderbird qui est aussi soutenu par la fondation mozilla. Les deux logiciels permettent d'effectuer les tâches classiques du mail. L'installation de ces logiciels se fait respectivement avec les instructions suivantes:



yum -y install evolution

et

yum -y install thunderbird



La troisième technologie qui devient de plus en plus utilisée sur internet est la messagerie instantanée. Là aussi, plusieurs projets existent. Mais, si vous utilisez le bureau KDE, je vous recommande d'utiliser le logiciel kopete qui vient par défaut avec KDE. Il existe aussi le logiciel pidgin qui est aussi un concurrent de kopete mais conçu pour le bureau GNOME. Contrairement aux outils disponibles sous windows, kopete et pidgin permettent d'activer plusieurs comptes, éventuellement avec des protocoles différents en même temps. Pratiquement, vous n'avez plus à installer plusieurs client de messagerie instantanée sur votre PC, mais, avec un seul logiciel, vous serez capable d'utiliser votre compte MSN, YAHOO , GOOGLE, .... Il reste indispensable de signaler que les outils du système windows (msn et yahoo messenger) ont une longueur d'avance sur les outils cités ci-dessus aussi bien de point de vue convivalié que de point de vue fonctionnalité (prise en charge de la voix sur IP et de la vidéo conférence). Cet avantage risque (heureusement) de ne pas durer puisque les développeurs travaillent sur l'intégration de ces technologies dans kopete et pidgin.



Le logiciel skype détient aujourd'hui une place importante dans le monde de la messagerie instantanée et de la voix sur IP. La version 2 de ce logiciel, qui permet aussi d'effectuer la vidéo conférence, peut être installée sous Fedora avec la commande ci-dessous



rpm –Uvh http://www.skype.com/go/getskype-linux-fc7



Une fois vos choix définis, vous pouvez paramétrer vos applications par défaut grâce au menu computer -> system setting --> default application.



Avec linux, vous disposez d'une grande variété de logiciels dans toutes les catégories. Voici une liste non exhaustive de logiciels qui peuvent vous être utiles:

amule: logiciel de téléchargement pair-à-pair

ktorrent: client pour le téléchargement des torrents

kget: outil de téléchargement de fichiers

filezilla, kftpgrabber, gftp : clients ftp

konversation: client IRC

Installation du bureau KDE sous Fedora


Linux Fedora s'installe par défaut avec le bureau GNOME qui est développé avec le langage C et la bibliothèque GTK+. C'est un bureau stable et rapide et est adapté pour beaucoup d'utilisateurs de linux. Avec l'utilisation compiz-fusion, ce bureau peut vous surprendre avec les effets 3D qu'il peut effectuer.

Son concurrent le plus sérieux est le bureau KDE développé avec C++ et la bibliothèque QT. Qt est en fait une bibliothèque développée et maintenue par la société norvégienne trolltech (www.trolltech.com). La clarté du code des classes fournies par QT, la rapidité et la convivialité de ces interfaces ont été la clé de son succès ainsi que celle du bureau KDE.


En surfant sur le web, vous pouvez trouvez des comparatifs objectifs entre ces bureaux mais, je reste persuadé que dans les cas pareils, c'est toujours la subjectivité qui va l'emporter et c'est peut- être un détail insignifiant pour la majorité des gens qui vous fera basculer d'un coté ou de l'autre.



Si vous choisissez d'opter pour le bureau KDE (comme c'est le cas pour moi) vous aller devoir l'installer soit au moment de l'installation (voir l'article de l'installation dans le numéro spécial dédié à Fedora 10) ou en tapant la commande suivante:

yum -y "groupinstall KDE (K Desktop Environment)"

Le système va télécharger et installer tous les paquetages du bureau KDE.


Actuellement, Fedora vient avec la version 4 du bureau KDE qui a subit une refonte globale par rapport aux versions 3.x. Le menu principal du bureau a été divisé en différents onglets :

favoris: vous permet de mettre vos applications favorites

applications: permet un accès graphique aux applications de linux. Nous devons ici nous arrêter sur l'effort que font les distributions de linux pour rendre ce système plus prêt du grand public et ce , en développant des interfaces graphiques pour l'administration du système. Pendant longtemps, seuls les informaticiens confirmés pouvaient se permettre d'installer ce système puisque l'administration se faisait uniquement en mode textuel soit, via les commandes soit, en manipulant des fichiers de configuration très délicats. Mais avec les logiciels du menu administration, un grand nombre de ces tâches(ajout d'imprimante, configuration des services, configuration du réseau) est désormais réalisable graphiquement ce qui peut plaire aux gens qui viennent du monde «windows».

computer: donne accès à l'application de configuration de poste de travail, aux emplacements fréquents (répertoires personnel, emplacement réseaux, corbeille ...) et aux média de stockage.

recently used: nous y trouvons les applications les fichiers récemment utilisés

leave: permet de déconnecter du la session ou d'arrêter l'ordinateur.

Fedora 10 et RPMFUSION

Quand vous installez votre système Fedora, uniquement les dépôts officiels seront disponibles qui contiennent les paquetages officiellement développés par fedora ainsi que les mises à jours. Comme beaucoup de distributions linux, Fedora encourage l'utilisation des logiciels et des formats libre. Bien que cette position soit noble, elle risque de créer plusieurs problèmes puisque il ne sera possible de lire, entre autre, plusieurs fichiers multimédias et dont le fameux mp3 ni d'écouter les radios qui se diffusent en utilisant le protocole mms .....



Heureusement les dépôts rpmfustion sont la! Comme le nom le laisse entendre, ces dépôts sont en fait la fusion entre les dépôts Dribble, Freshrpms, et rpm.livna.org et dont le but est de simplifier au maximum l'utilisation à l'utilisateur final. Ces dépots, sont en fait composé de :



  • le dépôt free: il contient un ensemble de logiciel libre mais qui ne peuvent pas être inclus à la distribution Fedora à cause des lois aux états unis.


  • Le dépôt non-free: il contient des logiciels propriétaires ou dont le code source est disponible mais avec la restriction d'utilisation à des fin non commerciales.

Pour installer ces dépôts, il suffit de taper la commande suivante sur votre console en tant que root



rpm -Uh http://download1.rpmfusion.org/free/fedora/rpmfusion-free-release-stable.noarch.rpm http://download1.rpmfusion.org/nonfree/fedora/rpmfusion-nonfree-release-stable.noarch.rpm


puis, tapez la commande

yum -y update

pour mettre votre configuration à jour.